Observatório da nossa Polis à luz das memórias contínuas do pensamento filosófico português. Inspirado nos «Modernos Publicistas», segue o mesmo espírito crítico e de indignação:«De feito. Ardeu-me de todo o topete». Porque nunca calaremos no descampado onde reina a verdade que nos traz glória, repetiremos sempre a vontade de mestre Herculano: "é que não costumo calar nem attenuar as proprias opiniões onde e quando, por dever moral ou juridico, tenho de manifestá-las" ...!
sábado, janeiro 09, 2010
Da visão actual sobre a natureza humana
segunda-feira, janeiro 04, 2010
Mirando o Destino, em mais um início de calendário civil ...
Encontros da Música com o Cinema, mediados por vozes celestiais ...!
Mas o que é que a Barbara Streisand terá a ver com o Bill Evans ou o Buster Williams Trio ("Tokudo"), o Miles Davies e ... a "Branca de Neve" do Walt Disney ...?
Nesta procura global na rede mundial de informação ao nosso dispor podemos encontrar destas (pequenas ?) "coincidências". Por aqui serão sempre abençoadas, tanto quanto possam contribuir para o enriquecimento do nosso conhecimento. Sobretudo aquelas coisas que, pelo menos aparentemente, se nos deparam como (semi)encobertas, ou como algo que, por diversas e múltiplas razões (...?), podem ser inconvenientes para muitos dos que não convivem muito bem com a felicidade alheia (...).
No que toca a conhecer algo mais sobre este já antigo tema, veja-se, pelo menos, o título aqui e, para algumas das versões musicais, entre tantas, Dave Brubeck, Bill Evans Trio, ou o próprio Miles Davies.
As escolhas devem preencher todos os gostos. Eu prefiro (talvez) a primeira.
Divirtam-se ... enquanto "ele" (?) não chega!
sábado, janeiro 02, 2010
Volta o dia dois, e depois mais um, e ... sempre assim!...
Avec le temps...
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
On oublie le visage et l'on oublie la voix
Le coeur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
L'autre qu'on devinait au détour d'un regard
Entre les mots, entre les lignes et sous le fard
D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
Avec le temps tout s'évanouit
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
Mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules
A la Gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort
Le samedi soir quand la tendresse s'en va tout seule
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
L'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien
L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous
Devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens
Avec le temps, va, tout va bien
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
On oublie les passions et l'on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard
Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
Et l'on se sent floué par les années perdues
Alors vraiment
Avec le temps on n'aime plus.
Léo Ferré